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Visiter Oingt avec votre iphone

Par ROSELYNE, lundi 30 avril 2012 à 16:19 - générale

Visiter Oingt , magnifique village médiéval , au pays des Pierres Dorées avec votre I-Phone .

Lien sur le site officiel de Oingt :

http://www.oingt.com/

Vous pouvez télécharger la visite sur iOdyssee, l’application Iphone et Ipad

Site officiel des films des plus beaux villages

Par ROSELYNE, lundi 30 avril 2012 à 14:41 - générale

Site officiel des films réalisés et racontés par Mick Kalflèche :

http://www.lesfilmsdesbeauxvillages.com

IOdyssée partenaire du site officiel des films des plus beaux villages : Vous pouvez désormais visiter Riquewihr sur iOdyssee, l’application Iphone, Ipad...

Site municipal de Château-Chalon

Par ROSELYNE, mardi 24 avril 2012 à 17:30 - générale

Le Site internet de la Commune de Château-Chalon présente l’application iPhone et iPad qui permet une visite du village interactive.

Extrait :

"Les curiosités du village échappent souvent aux touristes. (…) Qu’à cela ne tienne, l’édile s’est ainsi rapproché de la société IOdyssée, spécialisée dans la mise en valeur numérique du patrimoine touristique et culturel."

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Christian Vuillaume

Christian Vuillaume, maire de Château-Chalon

Les puits de mines à Saint-Etienne

Par ROSELYNE, vendredi 20 avril 2012 à 16:47 - générale

Source Wikipédia

Le bassin houiller de la Loire fut historiquement le premier à être exploité en France.L’appellation de « bassin houiller de la Loire » apparaît début XIXe siècle à la suite des travaux cartographiques de l’ingénieur des mines Louis Antoine Beaunier.

Suite à ses travaux cartographiques, le bassin fut découpé en concessions. La mine employaient alors entre 300 et 400 hommes en 1812 autour de Saint-Étienne*  [1]

La présence de main-d’œuvre étrangère dans les mines du bassin de la Loire remonte au moins à l’Ancien Régime . En 1926, sur la seule commune de Saint-Étienne, les mines emploient 2 798 travailleurs étrangers . Après la nationalisation, cette proportion augmentera de nouveau jusqu’au dépasser la proportion d’un mineur sur deux étranger ou né de parents étrangers dans les années 1950.

Dans les années 1930, les différentes compagnies du bassin de la Loire vont progressivement intensifier la concentration de leur activité afin de réduire les coûts. Les puits les plus anciens et les moins rentables sont abandonnés ou convertis en puits de service ou d’aérage au profit d’une dizaine de puits où l’extraction se concentre, à l’image du puits Couriot.

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Puits Couriot

il fut le premier grand puits du bassin de la Loire. Ses installations sans cesse modernisées permettaient l’extraction de 3000 tonnes de charbon par jour au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. Le puits employait alors 1500 mineurs.

L’une des particularités du bassin de la Loire réside dans le rapport entre la mine et la ville . Sous la pression de la bourgeoisie stéphanoise l’ordonnance royale du 27 novembre 1822 instituait une ligne d’investison, interdisant l’exploitation et l’installation de mines dans les limites de la commune de Saint-Étienne.

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Puits Verpilleux

Il porte le nom d’un administrateur de la Société des Houillères de Saint Etienne. En juin 1968, le puits arrête l’extraction et les pompes sont arrêtées. Au mois de juin de l’année suivante le puits est remblayé et les installations détruites.

Les principaux puits de la Compagnie des Houillères de Saint-Etienne :

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Puits Neyron

Le puits Neyron, en face de la gare de Chateaucreux.

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Puits St-Louis

Il était situé au sud du cimetière du Soleil.

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Puits Pelissier

Situé à Villeboeuf , c’était au départ le puits d’extraction. Mais l’instabilité de la colonne du puits entraîna une réduction de sa largeur et obligea vers 1916 le remplacement d’une des deux cages par un contrepoids et il devient puits de service.

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Puits Didot

Le puits Didot est mis en service en 1922, les puits Pélissier devient dès lors puits de service.

Vous pouvez télécharger le circuit sur i-Odyssée, l’application Iphone et Ipad

LA ROUTE DU SEL

Par ROSELYNE, lundi 16 avril 2012 à 14:17 - générale

La Route Royale, ou Route du Sel, de Nice à Turin fut la première route carrossable à travers les Alpes.

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carte route du sel

Depuis le Moyen-Âge, la Route du sel partait de Nice pour rejoindre le Piémont. Elle longeait la vallée du Paillon, traversait le village de L’Escarène, empruntait le col de Braus, arrivait à Sospel dans la vallée de la Bévéra, et continuait son parcours par le col de Bruis, redescendait dans la vallée de la Roya et remontait sur le col de Tende pour aller vers le Piémont.

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route du sel

Le sel constitue le trafic le plus considérable et le plus régulier du Moyen Âge. Au XVIIIe siècle son rôle est en effet très important, utilisé pour l’élevage, la conservation des aliments et l’industrie du cuir. Cette route reliant Nice au Piémont (Italie) permettait le transport de ballots de sel à dos de mulets. En 1750, 30000 mulets étaient monopolisés uniquement pour le transport du sel. Ils transportaient au retour le blé et le vin, les peaux et les laines. Cette fameuse « route royale » a fait la prospérité des villages qui la bordent l’Escarène, Sospel, Breil, Saorge et Tende par exemple, contribuant ainsi à l’enrichissement du patrimoine culturel des vallées qu’elle traverse.

Vous pouvez télécharger le circuit sur i-Odyssée, l’application Iphone et Ipad